Blues Society :
En ce moment, je tourne, vire, sur différents structures accueillant du public. Les personnes sont de plus en plus vulgaire. Les gros mots se trouvent dans toutes les phrases. Personnellement, je n’ai pas un langage d’une perfection extrême (oui, je sais à votre grande surprise) mais je trouve que l’exceptionnel est banalisé. Ce qui me scotch le plus, c’est que ces établissements accueil du public. Moi je dis ça, je dis rien, chacun fait ce qu’il veut chez lui, moi, dans le privé je mets des strings sur ma tête le matin.
Un autre constat, toujours sur le même panel, il y a d’ailleurs peut être un lien. Les gens se plaignent tout le temps. Est que c’est à juste titre ? L’enquête devra être approfondit. Les personnes ne sont pas content de si, de ça. Dès qu’un collègue est parti, on lui casse du sucre sur le dos.
Bref, je trouve que l’ambiance est générale de notre société n’est pas très guillerette. D’ou vient ce phénomène, je pense que les raisons sont multiples. Le plus intéressant est : Comment soigner ce blues général. Première solution, je greffe un peu plus souvent mon IPOD Apple (Pub) sur les oreilles. Bon, c’est pas évident, évident pour bosser, quoi j’ai bien fait une partie de mes études comme ça sauf que c’était un SONY.
Autre solution. Les élections amène la révolution. Il y a pleins de morts et après on s’aime tous. Bah oui après l’orage, le beau temps.
Autrement, on légalise l’herbe qui fait rigoler. Comme ça les gens, ils sont détendus. Ils sourient tout le temps et ils sont plus agressifs. On s’aime tous et on fait l’amour tout le temps même avec sa voisine qui est pas belle mais on s’en fou par ce qu’on est bien.
Sinon, on oblige les gens à être heureux. Formation blagounette. Stage de contrepèteries. Pause relaxation, méditation, yoga …. Vacances au soleil.
Des études ont prouvé que l’on consommait moins d’énergie à sourire qu’à faire la gueule. Bon je m’en vais ça m’a mis de mauvais poil ce message. Demain, je parle sexe, ça donnera plus la pêche.