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Humeur Amer
19 avril 2007

Chaleur du matin :

Si je ne vous fais pas un petit article sensuel, vous n’allez pas croire que je suis réellement revenu et cela permettra par la même occasion de faire respirer ma boîte mail.

Le printemps réveille les libidos qui se sont assoupies au cours de trop longs mois d'hiver. Récemment, Emma et moi avons passé le week-end en Bretagne. Il y a quelques années, nous faisions régulièrement les quatre cents coup avec un groupe d’ami. Le travail, les amours, le temps ont distendu les liens. Les coups de téléphones ont commencé à s’espacer et les visites à s’étaler. Uni, malgré tout par des liens fort, nous nous débrouillons toujours pour nous revoir à différentes occasions.

Comme à l’accoutumé, la soirée fut arrosé et agrémenté d’actions aussi débiles que mémorables. Avec le recul, l’escalade du toit du voisin n’était pas forcement la démarche la plus prudente mais n’y avait t’il pas de meilleur point de vu pour profiter d’un tel ciel étoilé. La nuit se poursuivi par différents batailles d’eau et de cousin dans la vieille maisonmainvisual_transpiration que venait d’acheter l’un de nos ami. Nous étions tous venu lui donner un coup de main pour le déménagement. A une heure incertaine chacun avait trouvé une place dans la maison pour prendre quelques heures de repos après cette soirée de retrouvailles. Allongé, entourais d’une table à repasser et d’une montagne de carton, je m’écroulais comme une masse.

La lumière de matin, commença à rougir mes songes. Paupières fermés, bouche pâteuse, tête lourde, je cherchais à récupérer. Je m’aperçu que nous étions confiné dans un débarra sous les toits. J’ignorais l’heure qu’il pouvait être. Emma dormait à mes côtés. Elle aussi avait chaud. Contrairement à son habitude, ses vêtements de nuit se résumaient à une culotte. Allongé sur le ventre, elle dormait, protégeant son visage de la lumière. A grandes gorgés, je bu un bon volume d’eau de la précieuse bouteille de nuit. La maison était devenu silencieuse. Tout le monde devait récupérer de cette soirée bien agité. Malgré la sensation de dormir dans un sauna, je refermais mes yeux pour laisser mon foie travailler tranquillement.

La chaleur devenait véritablement insupportable. Mon corps se trouvait en ébullition avec cette sensation de dormir sous un tente de camping en plein soleil. L’avant bras posait sur les yeux, je tentais de poursuivre ma nuit.

Une douce chaleur commença à envahir mon corps. Je sentais mon sexe se raidir et de douces caresses se déplaçaient sur ma peau. L’atmosphère moite semblait avoir excité les sens de ma compagne. Je gardais les yeux fermés, comme endormi, pour profiter égoïstement de ce moment. Emma cherchait à me réveiller en douceur. La maison, elle aussi s’animait, les conversations et les rires avaient repris sur un bon ton. Des gouttes de sueurs coulaient sur mes tempes. Le désir devenait de plus en plus fort. Allongeait près moi, une de ses mains me caressait tandis que ses lèvres posaient des baisés sur mon torse. Son ventre frôlait mes doigts qui prenant vie commençaient à caresser sa peau. Ses baisés alors montèrent le long de mon cou pour trouver mes lèvres et un baisé goulu.

Les yeux toujours clos, mes mains caressaient son dos et descendaient lentement jusqu’à ses fesses. Emma m’embrassait dans le cou. A l’étage inférieur on entendait du chahut. L’ambiance semblait reparti sur le même rythme que la veille. Sentant peut être mon inquiétude, elle me murmura que la porte était bien fermé. Le chemin de mes caresses passait de temps à autre près de son sexe qui cherchait de plus en plus de désir. Lentement, elle se redressa. Assise sur mon ventre, je pouvais mieux caresser sa poitrine. Nos corps étaient ruisselant de sueur alors que notre étreinte ne faisait que commencer. Elle fit glisser ses fesses et nos sexes purent ce rencontrer. Se penchant sur moi pour mieux m’embrasser notre étreinte commença paisiblement. Puis d’un coup, voulant faire monter plus vite son désir, Emma se redressa et accéléra la cadence. Le bruit de nos ébats commençaient à devenir plus sonore. Le matelas qui nous servait de lit, commençait à souffrir et Emma prenait de plus en plus de plaisir utilisant une gamme de gémissements jamais connu jusqu’alors.   

Notre étreinte fut brèves mais intense et Emma se leva tout de suite après. Elle désirai sûrement que notre absence ne soit trop commenté. Je pris le temps de profiter de se réveille sensuel ….  Quelques instant plus tard, Emma apparut toute fraîche à la porte :

-         Alors, c’est là que tu as passé la nuit. Je t’ai cherché partout.

Je n’ai jamais trop sus se qu’il s’était passer ce matin là. Je n’ai pas trop cherché à le savoir. J’imagine qu’une confusion avait rempli la maison. L’ignorance évite de créer des conflits.

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Commentaires
P
mais tu as blog sherlock ... à tout de suite
C
Soit, tu fermais les yeux au moins une partie du temps, mais une personne différente, c'est aussi une présence, un corps, une voix, une odeur différents, non ? J'ai vraiment un doute là...<br /> <br /> Alors soit tu nous racontes une jolie histoire, soit ta violeuse a pris le soin de te droguer avant... qu'on se le dise, le rohypnol est partout, même en Bretagne (mais seulement quand il y fait chaud)...
P
Bah oui c'est vrai ça !!! C'est pas si mal que ça en fait le viol. <br /> <br /> En fait, je suis pas sur, je crois qu'il y a eu confusion des deux côtés et que c'est une boulette qui aurait pu finir mal. <br /> <br /> Mais ouf, je l'ai dit personne.
C
...mais alors ?... ce n'était pas elle ?!... Tu te serais fait violer à l'insu de ton plein gré ??
Humeur Amer
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